il y a la connexion
des hommes entre eux,
et le besoin d’exister seul,
au milieu des autres.
Exposition
Là où passe la lumière
Ouverture le 17 Mars 2023
Bus espace culturel mobile - Association Autres directions
Ouverture le 17 Mars 2023
Bus espace culturel mobile - Association Autres directions
Exposition
Parce que . ici. volet #01Mai 2022
Centre d’art et de photographie de Lectoure
La première nuit est toujours blanche
Du 05 au 30 Avril 2022
31ème itinéraire des photographes voyageurshttp://www.itiphoto.com/
Partir du réel pour glisser vers la fiction.
Partir du singulier pour glisser vers l’universel.
Chercher les tensions, sentir que l’équilibre que nous trouvons pour vivre ensemble, ici et maintenant, est fragile, incertain mais précieux.
Du 05 au 30 Avril 2022
31ème itinéraire des photographes voyageurshttp://www.itiphoto.com/
Partir du réel pour glisser vers la fiction.
Partir du singulier pour glisser vers l’universel.
Chercher les tensions, sentir que l’équilibre que nous trouvons pour vivre ensemble, ici et maintenant, est fragile, incertain mais précieux.
Workshop
Le village04-05-06 Juin 2022
Seix (Ariège)
Toutes les infos ici: AssoDéclic
Les participants seront amenés à réaliser durant 3 jours un travail mêlant photographies et mots pour partir à la rencontre d’un village du Couserans.
Le projet s’articulera autour de rencontres avec les habitants pour écouter l’histoire du lieu, mêlée à leurs propres histoires.
Croiser les mots et les photographies nous amènera à dresser un regard unique et singulier, sur un lieu de vie au premier regard ordinaire.
Plusieurs techniques seront abordées : la prise de vue en photographie, comment bien définir ses intentions, comment rencontrer l’autre, l’écouter et le raconter. Les travaux seront présentés sous forme de diaporama collectif à la fin du workshop.
Article Fabien Ribery
L’intervalleLa première nuit est toujours blanche
Tout est lié, tout entre en résonnance, mais il faut l’art, et beaucoup d’intuition,
pour savoir en rendre compte.
Invitée en résidence à Plounéour-Ménez à l’été 2020, Anne Desplantez, dont le travail n’est qu’échange, est allée vers les habitants des monts d’Arrée, carnets, appareil photo et dictaphone en main, ne s’imposant jamais et suscitant la confiance, permettant ce qu’elle aime appeler de la création partagée, chacun participant à sa façon, donnant ce qui lui semble important, un souvenir, une image, une voix.
Ici c’est la force de la nature renvoyant à la fragilité humaine qu’elle a reconnue, et les liens invisibles qui unissent les uns aux autres. « Je recherche les tensions qui nous font sentir que l’équilibre que nous trouvons pour vivre ensemble est fragile, incertain mais précieux. » Et ce qu’elle sent ici, c’est ce qui précède peut-être cet équilibre, quelque chose de l’ordre de la bascule, un choix ou une décision, un geste, un acte volontaire ou juste évident, ou encore quelque chose d’indicible, plus diffus, mais qui fait l’histoire de chacun. Qui commencerait par une nuit blanche, parce que quelque chose a lieu, là, de profond et déterminant, absolu même si familier.
À mi-chemin entre mise en scène et documentaire, c’est à une exploration en forme de fiction à laquelle nous convie Anne Desplantez, une fiction ordinaire, du vivant.
Ici c’est la force de la nature renvoyant à la fragilité humaine qu’elle a reconnue, et les liens invisibles qui unissent les uns aux autres. « Je recherche les tensions qui nous font sentir que l’équilibre que nous trouvons pour vivre ensemble est fragile, incertain mais précieux. » Et ce qu’elle sent ici, c’est ce qui précède peut-être cet équilibre, quelque chose de l’ordre de la bascule, un choix ou une décision, un geste, un acte volontaire ou juste évident, ou encore quelque chose d’indicible, plus diffus, mais qui fait l’histoire de chacun. Qui commencerait par une nuit blanche, parce que quelque chose a lieu, là, de profond et déterminant, absolu même si familier.
À mi-chemin entre mise en scène et documentaire, c’est à une exploration en forme de fiction à laquelle nous convie Anne Desplantez, une fiction ordinaire, du vivant.
Exposition
ce qui nous lie
Galerie Les Méandres Huelgoat
présentation de La première nuit est toujours blanche (2020)
Anne Desplantez est partie à la rencontre d’habitants vivant dans une nature à la fois superbe et sans concession. Le travail qui en découle est profondément intime tout en étant pudique, silencieux et de grande écoute envers ce qui est, envers ce qui vient.
Galerie Les Méandres Huelgoat
présentation de La première nuit est toujours blanche (2020)
Anne Desplantez est partie à la rencontre d’habitants vivant dans une nature à la fois superbe et sans concession. Le travail qui en découle est profondément intime tout en étant pudique, silencieux et de grande écoute envers ce qui est, envers ce qui vient.
Exposition
Tu connais ses silencesLe Faune / Collectif d’art - Bagnères de Bigorre
“La terre ne parle pas. Ni les nuages ni les versants des montagnes ne peuvent vous dire ce qu’il faut en penser, s’il faut les aimer ou les détester. Celui qui décide de rester là, dans ce pays où la nature rythme les jours et les saisons, celui-là doit donner un sens à ces vallées.
Il a beaucoup plu durant ces deux mois de résidence passés sur les terres du Couserans, tant mieux. Cela aurait été trop simple sinon. Là, il a fallu que je me raccroche, que je cherche, que je trouve du sens pour rester, ne pas repartir. Les longueurs de la route m’ont obligée à me poser entre deux rencontres, à définir la nécessité ou pas de revenir. Est-ce comme cela que l’on comprend, un jour, d’où l’on est vraiment ?”
“La terre ne parle pas. Ni les nuages ni les versants des montagnes ne peuvent vous dire ce qu’il faut en penser, s’il faut les aimer ou les détester. Celui qui décide de rester là, dans ce pays où la nature rythme les jours et les saisons, celui-là doit donner un sens à ces vallées.
Il a beaucoup plu durant ces deux mois de résidence passés sur les terres du Couserans, tant mieux. Cela aurait été trop simple sinon. Là, il a fallu que je me raccroche, que je cherche, que je trouve du sens pour rester, ne pas repartir. Les longueurs de la route m’ont obligée à me poser entre deux rencontres, à définir la nécessité ou pas de revenir. Est-ce comme cela que l’on comprend, un jour, d’où l’on est vraiment ?”
Exposition
L’air est immobile
Centre d’art et de photographie - Lectoure
Avec
Arno Brignon
Gaël Bonnefon
Podcast - Interview et lectures avec Isabelle Fouillet
« L’esprit d’aventure artistique et culturelle est au
coeur de ce projet qui permet d’enrichir la
programmation arts visuels en Couserans et de la
faire rayonner à l’échelle régionale. Elle donne aussi
l’occasion à deux territoires ruraux de partager leurs
problématiques, de mettre en commun ressources
et compétences, d’expérimenter aussi leur manière
assez proche de travailler avec un territoire dans
sa dimension à la fois géographique, sociale et
humaine. »
Centre d’art et de photographie - Lectoure
Avec
Arno Brignon
Gaël Bonnefon
Podcast - Interview et lectures avec Isabelle Fouillet
« L’esprit d’aventure artistique et culturelle est au
coeur de ce projet qui permet d’enrichir la
programmation arts visuels en Couserans et de la
faire rayonner à l’échelle régionale. Elle donne aussi
l’occasion à deux territoires ruraux de partager leurs
problématiques, de mettre en commun ressources
et compétences, d’expérimenter aussi leur manière
assez proche de travailler avec un territoire dans
sa dimension à la fois géographique, sociale et
humaine. »
Livre
Tu connais ses silencesEd. Photopaper (rupture de stock)
Article de F. Ribery - L’intervalle
Bénéficiant d’une résidence photographique dans le Couserans (Pyrénées ariégeoises), Anne Desplantez est partie à la rencontre d’habitants vivant dans une nature à la fois superbe et sans concession.
Le travail qui en découle est profondément intime tout en étant pudique, silencieux et de grande écoute envers ce qui est, envers ce qui vient.
Ici les enfants sont des chevaux au galop, et les vieilles personnes des montagnes solides érodées par le temps inclément.
Cherchant à « comprendre ce qui nous tient ensemble », Anne Desplantez élabore, en images et sons, une œuvre de grande délicatesse.
Expositions
Tu connais ses silences
2019
Quai des arts - Cugnaux
ManifestO - Toulouse
Centre d’interprétation du patrimoine du Couserans - Seix
L’oeil urbain - Corbeil Essonne
s2019
Quai des arts - Cugnaux
ManifestO - Toulouse
Centre d’interprétation du patrimoine du Couserans - Seix
L’oeil urbain - Corbeil Essonne